Reportage Danse Tahitienne

tahiti

Instants forts - émotions

Spectacle 2023

Reportage photo pour Vainui

reportage de la grace
-juin 2023-

Tahiti

J’ai eu le plaisir d’assister à une démonstration flamboyante et émouvante de danse tahitienne chez Vainui.

 

Un superbe moment pour moi

Les émotions

Petite, l’un de mes spectacles de maternelle était en pagne et en rouge, je me souviens encore de LA photo qu’il en reste, version Kodak jetable. C’est la seule danse, car pour moi ça s’est validé par 14 ans de danse classique, très beau, sans pour autant avoir à mes yeux, la même signification que l’histoire racontée par la danse tahitienne.

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Vainui est une personne douce, attachante que j’ai pu rencontrer dans mon touuuuuuuut début. Elle m’a fait confiance et a accepté d’être une modèle. Elle m’a invitée à plusieurs reprises pour venir à son cours. Je n’attends que ça, que de prioriser la dispo pour suivre ses cours et m’offrir un temps, à moi. Les enfants grandissent, cela se rapproche.

 

Contexte

Ce soir là, je suis invitée à passer un bon moment, et que ouiiiiii. Je suis arrivée avec mon Canon, en mode, « envie de faire plaisir. » J’ai ce qu’il faut pour shooter quelques images en mode « golden hour ». Un 24-70mm et un 100mm qui me permet de faire de plus gros plans, et surtout il est en focal 2,8. Si tu ne connais pas, normal, je ne savais pas l’importance il y a un an, je t’explique pourquoi après.

J’ai apprécié la musique, qui faisait vibrer quelque chose dans mon estomac, un petit truc qui sautait en même temps que chaque percussion. Le truc qui te donne faim comme l’amour. Mes yeux ont brillé devant les petites filles, tellement en joie de leur prestation. Une envie de pleurer, en lien avec ma sensibilité qui perçoit des émotions que beaucoup ignorent, c’est le 6ème sens émotionnel, pas facile à dompter. Ce chameau, appelé aussi « intelligence émotionnelle », fait que je suis submergée. Y’en a qui ne pleurent que de tristesse, ben moi, c’est le trop plein de bonheur. Et là, y’avait de quoi faire, sérieux.

 

Ce foutu perfectionnisme

Un voyage au départ de la haute-savoie

C’est alors que l’ambiance est bonne, le repas délicieux aux fragrances d’ailleurs, et ce dessert ouhhhh il truc de dingue banane coco dont je n’ai plus le nom, je ferais 100kms pour en remanger. Ben oui, je vais pas dire que je me déplacerais à Tahiti, parce que j’y suis pas rendue… Le spectacle reprend après entracte, afin que les filles se changent et vêtissent leurs plus belles parures de fleurs. Le soir tombe, la nuit avec. C’est alors que l’éclairage n’est plus du tout dans mon contexte habituel de studio.

 

matos ou technique ? C'est quoi le problème ?

Je suis formée depuis 1 an. Surtout en studio, là où c’est sensé, je dis bien sensé être le plus complexe. J’aime aller direct où c’est difficile. Ben là je me prends une belle claque. Non la prise de vue extérieure, peu éclairée, avec mouvement, ce n’est pas simple. Je tire mon chapeau à mes collègues artistes et photographes qui font les reportages de mariage ou autres cérémonies et fêtes du soir. C’est un métier. Bon je me rends compte que je n’ai ni la technique, ni les bases. Tout à apprendre, chouette vu que j’adore ça ! 

Je galère avec mes paramètres. Oui je fais tout en mode manuel pour apprendre au plus vite. Quand j’aurai passé cette étape, tout me sera aisé. Donc peu de lumière, de beaux mouvements… Et là je me dis, mais quest-ce quil me faut de plus ? Si je bouge ma vitesse, c’est soit flou, soit tout noir. Je compense par les ISO, mais je sais que le rendu sera criblé de petits pointillés appelés « bruit numérique ». Ca n’a pas manqué, il y en a en pagaille. Le seul paramètre qu’il me reste est l’ouverture. Mon 100mm est à 2,8. Je me dis alors, « ahhhh tu rêvais du 1,4 à 2500 euros… tu l’as oublié dans un coin de ta tête, ahhh et ce 70-200mm, tu es une pro maintenant non? C’est vraiment du rêve que de vouloir s’équiper ? Tu ferais des gros plans de malade !!! Mets le juste de côté, un jour peut-etre … »

Et la speedlight dans tout ça ? Ce petit flash dit « Cobra » est idéal pour le lancer sur un mur ou plafond qui va réfléchir cette lumière. Bon ben là encore, pas de  mur blanc derrière moi, des montagnes splendides à perte de vue. Donc dirigé sur les modèles m’apporte une lumière très dure. Note à moi-même, prévoir un diffuseur !

Bref, si j’avais anticipé et prévenu Vainui, j’aurais pu voir pour apporter de l’éclairage, oui un peu de lumière continue ici n’aurait pas fait de mal.. donc un reportage ça s’anticipe.

 

Je les jète ou pas ?

Donc pour en finir avec ce foutu perfectionnisme, je me trouve avec tant d’images dont la qualité n’est pas au 10ème de ce que j’espèrais. Oui mais en même temps, pour celle qui n’a aucune image de ce souvenir, elle sera tout de même contente de le garder, peu-importe que ce ne soit pas à mon niveau d’exigence. « oui mais attention, un cadeau qui ne montre pas la qualité de ton travail, tu ferais mieux de jeter », oui ben non ! « montrer d’où on vient pour assumer son évolution c’est bien aussi ».

Voici un élément à mettre sur la liste de mes formations à venir !

 

MErci d'avoir partagé vos talents

Merci d’être passé sur mon blog, d’avoir partagé un moment de mes galères. Ce sont celles-ci qui me permettent de comprendre, en quoi j’ai encore besoin d’apprendre, et il y en aura encore et encore des occasions. C’est grâce à vous que j’avance.

 

Pour la suite, en l’absence d’accord de publication, l’accès aux images est réservé aux danseuses.

.

Contexte

Ce soir là, je suis invitée à passer un bon moment, et que ouiiiiii. Je suis arrivée avec mon Canon, en mode, « envie de faire plaisir. » J’ai ce qu’il faut pour shooter quelques images en mode « golden hour ». Un 24-70mm et un 100mm qui me permet de faire de plus gros plans, et surtout il est en focal 2,8. Si tu ne connais pas, normal, je ne savais pas l’importance il y a un an, je t’explique pourquoi après.

J’ai apprécié la musique, qui faisait vibrer quelque chose dans mon estomac, un petit truc qui sautait en même temps que chaque percussion. Le truc qui te donne faim comme l’amour. Mes yeux ont brillé devant les petites filles, tellement en joie de leur prestation. Une envie de pleurer, en lien avec ma sensibilité qui perçoit des émotions que beaucoup ignorent, c’est le 6ème sens émotionnel, pas facile à dompter. Ce chameau, appelé aussi « intelligence émotionnelle », fait que je suis submergée. Y’en a qui ne pleurent que de tristesse, ben moi, c’est le trop plein de bonheur. Et là, y’avait de quoi faire, sérieux.

 

Ce foutu perfectionnisme

Un voyage au départ de la haute-savoie

C’est alors que l’ambiance est bonne, le repas délicieux aux fragrances d’ailleurs, et ce dessert ouhhhh il truc de dingue banane coco dont je n’ai plus le nom, je ferais 100kms pour en remanger. Ben oui, je vais pas dire que je me déplacerais à Tahiti, parce que j’y suis pas rendue… Le spectacle reprend après entracte, afin que les filles se changent et vêtissent leurs plus belles parures de fleurs. Le soir tombe, la nuit avec. C’est alors que l’éclairage n’est plus du tout dans mon contexte habituel de studio.

 

matos ou technique ? C'est quoi le problème ?

Je suis formée depuis 1 an. Surtout en studio, là où c’est sensé, je dis bien sensé être le plus complexe. J’aime aller direct où c’est difficile. Ben là je me prends une belle claque. Non la prise de vue extérieure, peu éclairée, avec mouvement, ce n’est pas simple. Je tire mon chapeau à mes collègues artistes et photographes qui font les reportages de mariage ou autres cérémonies et fêtes du soir. C’est un métier. Bon je me rends compte que je n’ai ni la technique, ni les bases. Tout à apprendre, chouette vu que j’adore ça ! 

Je galère avec mes paramètres. Oui je fais tout en mode manuel pour apprendre au plus vite. Quand j’aurai passé cette étape, tout me sera aisé. Donc peu de lumière, de beaux mouvements… Et là je me dis, mais quest-ce quil me faut de plus ? Si je bouge ma vitesse, c’est soit flou, soit tout noir. Je compense par les ISO, mais je sais que le rendu sera criblé de petits pointillés appelés « bruit numérique ». Ca n’a pas manqué, il y en a en pagaille. Le seul paramètre qu’il me reste est l’ouverture. Mon 100mm est à 2,8. Je me dis alors, « ahhhh tu rêvais du 1,4 à 2500 euros… tu l’as oublié dans un coin de ta tête, ahhh et ce 70-200mm, tu es une pro maintenant non? C’est vraiment du rêve que de vouloir s’équiper ? Tu ferais des gros plans de malade !!! Mets le juste de côté, un jour peut-etre … »

Et la speedlight dans tout ça ? Ce petit flash dit « Cobra » est idéal pour le lancer sur un mur ou plafond qui va réfléchir cette lumière. Bon ben là encore, pas de  mur blanc derrière moi, des montagnes splendides à perte de vue. Donc dirigé sur les modèles m’apporte une lumière très dure. Note à moi-même, prévoir un diffuseur !

Bref, si j’avais anticipé et prévenu Vainui, j’aurais pu voir pour apporter de l’éclairage, oui un peu de lumière continue ici n’aurait pas fait de mal.. donc un reportage ça s’anticipe.

 

Je les jète ou pas ?

Donc pour en finir avec ce foutu perfectionnisme, je me trouve avec tant d’images dont la qualité n’est pas au 10ème de ce que j’espèrais. Oui mais en même temps, pour celle qui n’a aucune image de ce souvenir, elle sera tout de même contente de le garder, peu-importe que ce ne soit pas à mon niveau d’exigence. « oui mais attention, un cadeau qui ne montre pas la qualité de ton travail, tu ferais mieux de jeter », oui ben non ! « montrer d’où on vient pour assumer son évolution c’est bien aussi ».

Voici un élément à mettre sur la liste de mes formations à venir !

 

MErci d'avoir partagé vos talents

Merci d’être passé sur mon blog, d’avoir partagé un moment de mes galères. Ce sont celles-ci qui me permettent de comprendre, en quoi j’ai encore besoin d’apprendre, et il y en aura encore et encore des occasions. C’est grâce à vous que j’avance.

 

Pour la suite, en l’absence d’accord de publication, l’accès aux images est réservé aux danseuses.

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Contexte

Ce soir là, je suis invitée à passer un bon moment, et que ouiiiiii. Je suis arrivée avec mon Canon, en mode, « envie de faire plaisir. » J’ai ce qu’il faut pour shooter quelques images en mode « golden hour ». Un 24-70mm et un 100mm qui me permet de faire de plus gros plans, et surtout il est en focal 2,8. Si tu ne connais pas, normal, je ne savais pas l’importance il y a un an, je t’explique pourquoi après.

J’ai apprécié la musique, qui faisait vibrer quelque chose dans mon estomac, un petit truc qui sautait en même temps que chaque percussion. Le truc qui te donne faim comme l’amour. Mes yeux ont brillé devant les petites filles, tellement en joie de leur prestation. Une envie de pleurer, en lien avec ma sensibilité qui perçoit des émotions que beaucoup ignorent, c’est le 6ème sens émotionnel, pas facile à dompter. Ce chameau, appelé aussi « intelligence émotionnelle », fait que je suis submergée. Y’en a qui ne pleurent que de tristesse, ben moi, c’est le trop plein de bonheur. Et là, y’avait de quoi faire, sérieux.

 

Ce foutu perfectionnisme

Un voyage au départ de la haute-savoie

C’est alors que l’ambiance est bonne, le repas délicieux aux fragrances d’ailleurs, et ce dessert ouhhhh il truc de dingue banane coco dont je n’ai plus le nom, je ferais 100kms pour en remanger. Ben oui, je vais pas dire que je me déplacerais à Tahiti, parce que j’y suis pas rendue… Le spectacle reprend après entracte, afin que les filles se changent et vêtissent leurs plus belles parures de fleurs. Le soir tombe, la nuit avec. C’est alors que l’éclairage n’est plus du tout dans mon contexte habituel de studio.

 

matos ou technique ? C'est quoi le problème ?

Je suis formée depuis 1 an. Surtout en studio, là où c’est sensé, je dis bien sensé être le plus complexe. J’aime aller direct où c’est difficile. Ben là je me prends une belle claque. Non la prise de vue extérieure, peu éclairée, avec mouvement, ce n’est pas simple. Je tire mon chapeau à mes collègues artistes et photographes qui font les reportages de mariage ou autres cérémonies et fêtes du soir. C’est un métier. Bon je me rends compte que je n’ai ni la technique, ni les bases. Tout à apprendre, chouette vu que j’adore ça ! 

Je galère avec mes paramètres. Oui je fais tout en mode manuel pour apprendre au plus vite. Quand j’aurai passé cette étape, tout me sera aisé. Donc peu de lumière, de beaux mouvements… Et là je me dis, mais quest-ce quil me faut de plus ? Si je bouge ma vitesse, c’est soit flou, soit tout noir. Je compense par les ISO, mais je sais que le rendu sera criblé de petits pointillés appelés « bruit numérique ». Ca n’a pas manqué, il y en a en pagaille. Le seul paramètre qu’il me reste est l’ouverture. Mon 100mm est à 2,8. Je me dis alors, « ahhhh tu rêvais du 1,4 à 2500 euros… tu l’as oublié dans un coin de ta tête, ahhh et ce 70-200mm, tu es une pro maintenant non? C’est vraiment du rêve que de vouloir s’équiper ? Tu ferais des gros plans de malade !!! Mets le juste de côté, un jour peut-etre … »

Et la speedlight dans tout ça ? Ce petit flash dit « Cobra » est idéal pour le lancer sur un mur ou plafond qui va réfléchir cette lumière. Bon ben là encore, pas de  mur blanc derrière moi, des montagnes splendides à perte de vue. Donc dirigé sur les modèles m’apporte une lumière très dure. Note à moi-même, prévoir un diffuseur !

Bref, si j’avais anticipé et prévenu Vainui, j’aurais pu voir pour apporter de l’éclairage, oui un peu de lumière continue ici n’aurait pas fait de mal.. donc un reportage ça s’anticipe.

 

Je les jète ou pas ?

Donc pour en finir avec ce foutu perfectionnisme, je me trouve avec tant d’images dont la qualité n’est pas au 10ème de ce que j’espèrais. Oui mais en même temps, pour celle qui n’a aucune image de ce souvenir, elle sera tout de même contente de le garder, peu-importe que ce ne soit pas à mon niveau d’exigence. « oui mais attention, un cadeau qui ne montre pas la qualité de ton travail, tu ferais mieux de jeter », oui ben non ! « montrer d’où on vient pour assumer son évolution c’est bien aussi ».

Voici un élément à mettre sur la liste de mes formations à venir !

 

MErci d'avoir partagé vos talents

Merci d’être passé sur mon blog, d’avoir partagé un moment de mes galères. Ce sont celles-ci qui me permettent de comprendre, en quoi j’ai encore besoin d’apprendre, et il y en aura encore et encore des occasions. C’est grâce à vous que j’avance.

 

Pour la suite, en l’absence d’accord de publication, l’accès aux images est réservé aux danseuses.

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Contexte

Ce soir là, je suis invitée à passer un bon moment, et que ouiiiiii. Je suis arrivée avec mon Canon, en mode, « envie de faire plaisir. » J’ai ce qu’il faut pour shooter quelques images en mode « golden hour ». Un 24-70mm et un 100mm qui me permet de faire de plus gros plans, et surtout il est en focal 2,8. Si tu ne connais pas, normal, je ne savais pas l’importance il y a un an, je t’explique pourquoi après.

J’ai apprécié la musique, qui faisait vibrer quelque chose dans mon estomac, un petit truc qui sautait en même temps que chaque percussion. Le truc qui te donne faim comme l’amour. Mes yeux ont brillé devant les petites filles, tellement en joie de leur prestation. Une envie de pleurer, en lien avec ma sensibilité qui perçoit des émotions que beaucoup ignorent, c’est le 6ème sens émotionnel, pas facile à dompter. Ce chameau, appelé aussi « intelligence émotionnelle », fait que je suis submergée. Y’en a qui ne pleurent que de tristesse, ben moi, c’est le trop plein de bonheur. Et là, y’avait de quoi faire, sérieux.

 

Ce foutu perfectionnisme

Un voyage au départ de la haute-savoie

C’est alors que l’ambiance est bonne, le repas délicieux aux fragrances d’ailleurs, et ce dessert ouhhhh il truc de dingue banane coco dont je n’ai plus le nom, je ferais 100kms pour en remanger. Ben oui, je vais pas dire que je me déplacerais à Tahiti, parce que j’y suis pas rendue… Le spectacle reprend après entracte, afin que les filles se changent et vêtissent leurs plus belles parures de fleurs. Le soir tombe, la nuit avec. C’est alors que l’éclairage n’est plus du tout dans mon contexte habituel de studio.

 

matos ou technique ? C'est quoi le problème ?

Je suis formée depuis 1 an. Surtout en studio, là où c’est sensé, je dis bien sensé être le plus complexe. J’aime aller direct où c’est difficile. Ben là je me prends une belle claque. Non la prise de vue extérieure, peu éclairée, avec mouvement, ce n’est pas simple. Je tire mon chapeau à mes collègues artistes et photographes qui font les reportages de mariage ou autres cérémonies et fêtes du soir. C’est un métier. Bon je me rends compte que je n’ai ni la technique, ni les bases. Tout à apprendre, chouette vu que j’adore ça ! 

Je galère avec mes paramètres. Oui je fais tout en mode manuel pour apprendre au plus vite. Quand j’aurai passé cette étape, tout me sera aisé. Donc peu de lumière, de beaux mouvements… Et là je me dis, mais quest-ce quil me faut de plus ? Si je bouge ma vitesse, c’est soit flou, soit tout noir. Je compense par les ISO, mais je sais que le rendu sera criblé de petits pointillés appelés « bruit numérique ». Ca n’a pas manqué, il y en a en pagaille. Le seul paramètre qu’il me reste est l’ouverture. Mon 100mm est à 2,8. Je me dis alors, « ahhhh tu rêvais du 1,4 à 2500 euros… tu l’as oublié dans un coin de ta tête, ahhh et ce 70-200mm, tu es une pro maintenant non? C’est vraiment du rêve que de vouloir s’équiper ? Tu ferais des gros plans de malade !!! Mets le juste de côté, un jour peut-etre … »

Et la speedlight dans tout ça ? Ce petit flash dit « Cobra » est idéal pour le lancer sur un mur ou plafond qui va réfléchir cette lumière. Bon ben là encore, pas de  mur blanc derrière moi, des montagnes splendides à perte de vue. Donc dirigé sur les modèles m’apporte une lumière très dure. Note à moi-même, prévoir un diffuseur !

Bref, si j’avais anticipé et prévenu Vainui, j’aurais pu voir pour apporter de l’éclairage, oui un peu de lumière continue ici n’aurait pas fait de mal.. donc un reportage ça s’anticipe.

 

Je les jète ou pas ?

Donc pour en finir avec ce foutu perfectionnisme, je me trouve avec tant d’images dont la qualité n’est pas au 10ème de ce que j’espèrais. Oui mais en même temps, pour celle qui n’a aucune image de ce souvenir, elle sera tout de même contente de le garder, peu-importe que ce ne soit pas à mon niveau d’exigence. « oui mais attention, un cadeau qui ne montre pas la qualité de ton travail, tu ferais mieux de jeter », oui ben non ! « montrer d’où on vient pour assumer son évolution c’est bien aussi ».

Voici un élément à mettre sur la liste de mes formations à venir !

 

MErci d'avoir partagé vos talents

Merci d’être passé sur mon blog, d’avoir partagé un moment de mes galères. Ce sont celles-ci qui me permettent de comprendre, en quoi j’ai encore besoin d’apprendre, et il y en aura encore et encore des occasions. C’est grâce à vous que j’avance.

 

Pour la suite, en l’absence d’accord de publication, l’accès aux images est réservé aux danseuses.

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ORI TAHITI

Vainui Duberne , danseuse et chorégraphe a créé son école Mahaora qui offre la possibilité de prendre des cours de danse tahitienne sur Annecy, Annemasse et Genève afin d’exprimer le talent de son corps.

Elle s’adresse aux enfants comme aux adultes. Allez voir.

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20230617-402A6785

reportage de la grace
-juin 2023-

Merci

2 Commentaires

  1. Je te remercie en mon nom et en celui de mes élèves, car grâce à toi on a une fabuleuse surprise !!
    Tu es tellement talentueuse et généreuse… merci, car comme tu le dis se sont de fabuleux souvenirs qui resteront à jamais grâce à toi, mes élèves enfants et femmes vont se voir si belles 🙏🏼🥰😘

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